Le pilotage de la performance devient indispensable dans le cadre de la gestion d’une entreprise, quelle que soit sa taille. Mais les données nécessaires, comme les références, ne seront pas les mêmes pour une multinationale qui gère de la vente sur plusieurs continents et un commerçant qui ne peut compter que sur sa boutique. C’est là que la BI entre en jeu.

Comment intégrer une logique de pilotage de la performance dans son quotidien ?

De nombreuses données sont à prendre en compte pour piloter une entreprise. Le chiffre d’affaires, aussi bien quotidien, que développé sur les plans hebdomadaires, mensuels, annuels. La fréquentation. Le taux de retour sur investissement. Certaines sociétés auront aussi à cœur de prendre en compte la recherche et développement, ou la satisfaction client. Il faut choisir les bonnes, celles qui correspondent à votre propre parcours.

Dans tous les cas, la première étape est de centraliser toutes les données, dans une logique de big data. Le commerce en ligne facilite cette collecte, de même que les techniques comme les cartes de fidélité.

Mais obtenir ces chiffres n’est pas suffisant : il faut les analyser, afin de déterminer les actes et ressources à mettre en œuvre. Et c’est là que la BI entre en ligne de compte.

Analyser et visualiser grâce à la BI

La BI va permettre de visualiser les informations de manière claire, détaillée, mais surtout adaptée aux besoins de l’entreprise.

Le tableau de bord idéal devra être immédiatement lisible, et intégrer des comparatifs qui permettent de tirer des conclusions. Il se doit donc d’être interactif, en plus d’être visuellement attractif.

Car ce sont les réflexions basées sur les connaissances qui participent réellement à l’idée d’un pilotage de la performance. L’outil de gestion doit servir au développement, pas uniquement contrôler ce qu’il se passe au sein de la société. La BI va servir à faire de l’analyse prédictive, en incluant des programmes ad hoc, qui facilitent la prise de décisions.

Pourquoi lier BI et pilotage de performance ?

Comme le montre cet article américain, le fait de s’appuyer sur des outils différents pour le pilotage de la performance et la BI conduit à certains dysfonctionnements. Parmi eux, vous retrouverez une qualité insuffisante des données ou des outils de simulation et de différents scénarios non compatibles.

Mais vous trouverez aussi une perte de rapidité, un coût supplémentaire dû à l’achat de plusieurs licences et, au final, une satisfaction moindre.

L’une des sources de frustration les plus fréquentes repose sur l’utilisation d’Excel pour tenter de planifier des opérations, plutôt que sur des outils spécialisés à la fois en BI et en pilotage de performance.

Via la Data Science, la Bi va transformer toutes les données nécessaires au pilotage de la performance. Les outils de reporting qui se présentent alors sont directement exploitables, et même paramétrables selon les utilisateurs qui les ont en main. Le maillage des deux est essentiel, non pas pour deviner l’avenir, mais pour vous diriger vers celui que vous désirez créer pour votre entreprise.